Par l’Observatoire des réalités familiales du Québec (ORFQ)
Près d’une grossesse sur cinq se termine de cette manière, généralement à l’urgence. Cet évènement particulièrement éprouvant est d’autant plus difficile à traverser en l’absence d’information ou de soutien de la part du personnel médical. Malheureusement, de l’annonce de la fausse couche à leur sortie de l’hôpital, les femmes décrivent trop souvent être laissées à elles-mêmes.
C’est le constat d’une étude menée par Danaë Larivière-Bastien, Francine De Montigny et Chantal Verdon de l’Université du Québec en Outaouais.